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Centre de formation Elisabeth Breton

Prévention et Gestion du Stress | Relaxologue - Réflexologue

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Historique et évolution de la réflexologie

La Réflexologie dite moderne ou occidentale a été développée au début du XXe siècle par des médecins américains et européens ayant analysé le rôle des réflexes dans le système nerveux. Cette technique est issue de la « Thérapie Zonale » du Dr William Fitzgerald. Elle fut adaptée aux concepts physiologiques occidentaux.

La théorie de « zone thérapie » a été développée par un autre médecin américain, le Dr J. Riley et par son assistante Eunice Ingham (1889 – 1974) qui a écrit le premier traité de réflexologie moderne et qui a établit les planches de la réflexologie moderne.

Publications dans la revue HEGEL (contribution d’Elisabeth Breton)

  • Réflexologie neurophysiologique
  • Etude sur le stress
  • POSTER étude sur le burnout
  • POSTER sur les TFI

« Thérapie Zonale » du Dr William Fitzgerald

réflexologie - William Fitzerald, théorie des zones
  • La théorie des zones repose sur un modèle anatomique qui divise le corps en 10 zones longitudinales, allant de la tête aux pieds.
  • Le corps est divisé en 10 zones longitudinales, 5 de chaque côté du corps, chacune étant liée à des endroits précis du corps.
  • Chaque organe ou partie du corps est représenté dans les mains et les pieds.
  • Stimuler ou presser chaque aire peut stimuler les flux du corps, revitaliser la zone corporelle correspondante, et de ce fait, drainer et soulager la zone concernée.

La réflexologie repose sur le postulat que chaque organe, chaque partie du corps ou fonction physiologique correspondrait à une zone ou un point précis et projeté sur les pieds, les mains, le visage ou les oreilles. Ces points et/ou zones réflexes seront relaxés et stimulés par différentes techniques réflexes. La pratique de la Réflexologie est liée aux stimuli nerveux. Il est avéré que « des courants électriques » traversent le corps passant à travers tout le système nerveux, lui-même relié à tous les organes et tissus du corps. Grâce aux réseaux des terminaisons nerveuses et des voies neuro-réflexes, la réflexologie utilise la relation qui existe entre les organes, les glandes et les zones ou les points réflexes situés aux niveaux des pieds, des mains et de la tête.

Le système nerveux ressemble à un vaste réseau de communication à travers tout l’organisme. Les nerfs transmettent des messages de toutes les parties du corps au cerveau sous forme de signaux électriques. Le cerveau, véritable centre de commandement, analyse ensuite ces informations et décide de réagir s’il estime nécessaire. Le cerveau est le centre de contrôle qui gère le fonctionnement de tous les systèmes de l’organisme. Il est responsable de l’envoi, de la réception et du traitement des influx nerveux.Tous les muscles et les organes du corps dépendent de ces influx nerveux pour fonctionner.

La réflexologie est étroitement liée aux effets des réflexes sur le corps. Le fonctionnement d’un réflexe reflète le principe selon lequel les nerfs réagissent à une excitation mécanique ou électrique. En stimulant les cellules nerveuses du pied, de la main ou de la tête, on agit sur une meilleure transmission de l’influx nerveux dans le corps.

  1. le toucher réflexe,
  2. la prise en compte de la globalité de l’individu,
  3. le principe d’équilibre neuro-hormonal et neurovégétatif par des techniques de relaxation et de stimulation réflexes.

La réflexologie agit sur tous les systèmes du corps avec une particularité d’un champ d’action sur le système nerveux central et périphérique (voies sensitives, sensorielles et motrices) et sur le système neurovégétatif (sympathique et parasympathique). Le toucher réflexe est un stimulus, capté par différents récepteurs de la peau et transformé en influx nerveux. Cet influx nerveux devient un message nerveux qui sera véhiculé par le système neuronal dans toutes les branches du système nerveux, et ceci tout au long du soin.

La réflexologie régule les réflexes vago-sympathiques. En agissant sur les commandes neurovégétatives, il est possible de réajuster ou rééquilibrer le potentiel vital fonctionnel des organes et des glandes.

Techniques réflexes conjonctives, périostées et viscéro-cutanées (contribution ostéopathique à la réflexologie)® Méthode Elisabeth Breton – Marque déposée à l’INPI N°19 4 517 964

  • Technique réflexe périostée
  • Technique réflexe tissu conjonctif
  • Technique réflexe viscéro-cutanée

Les points réflexes ne se retrouvent pas exactement aux mêmes endroits sur les différentes chartes de réflexologie. Cela s’expliquerait par deux facteurs. D’abord, puisque l’approche continue d’évoluer, l’identification de l’emplacement des points peut varier légèrement en fonction des recherches et de la pratique clinique. Ensuite, les points sur les chartes seraient indicatifs. Leur emplacement exact pourrait différer un peu, selon la morphologie des individus.

  • Le pied est un centre de réflexes : 7000 terminaisons nerveuses, 28 os, 20 muscles, 107 tendons.
  • Une pression appliquée sur ces points permet de localiser et de dénouer des tensions, de relancer la micro-circulation, d’activer le potentiel vital fonctionnel des organes, des glandes et de rétablir l’équilibre du métabolisme.
  • Le toucher est un de nos cinq sens. Les récepteurs du toucher, qui sont en fait des terminaisons nerveuses, se trouvent dans la peau.
  • On trouve les corpuscules de Pacini dans les doigts et la paume des mains, et les corpuscules dits de Meissner sur la face palmaire des mains (paume et dessous des doigts).

On estime que la tête intègre à elle seule 300 points réflexes, où se concentrent les terminaisons nerveuses, souvent différentes de ceux de l’acupuncture chinoise, permettant d’agir sur le cerveau et ainsi sur l’état psychique général de la personne.

Différents récepteurs sensitifs de la peau déclenche des effets antalgiques et anxiolytiques. La peau sécrète également des endorphines. Une fois libérées dans le sang, elles se dispersent dans l’ensemble de l’organisme et produisent leur effet bénéfique :

  • lutte contre la douleur,
  • la fatigue,
  • l’angoisse,
  • l’anxiété,
  • la dépression…
reflexologie pour la forme et le bien être
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réflexologie un vrai remède au stress elisabeth breton
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Réflexologie Faciale
et Crânienne
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  • Les études médicales sur la réflexologie http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/?term=foot+reflexology
  • Sylvie Colorado, psychologue clinicienne, mémoire pour le Diplôme Universitaire de Géronto-Psychiatrie Faculté Paris VI, « Peut-on utiliser la réflexologie pour travailler le stress et l’angoisse chez une personne âgée démente privée de communication verbale? » https://www.reflexobreton.fr/peut-on-utiliser-la-reflexologie-pour-travailler-le-stress-et-langoisse-chez-une-personne-agee-demente-privee-de-communication-verbale/
Evaluer les effets de la réflexologie : réflexion à propos d’une étude clinique sur le stress du quotidien
Evaluer les effets de la réflexologie : réflexion à propos d’une étude clinique sur le stress du quotidien

Etude menée par le Dr Bernard Payrau, Elisabeth Breton et Pr Nathalie Thilly.
Publiée dans

  • l’International Journal of Therapeutic massage and Bodywork Vol 10, N° 3 (2017 / Version anglaise)
  • la Revue HEGEL (2018 / Version française)

La validation des Interventions Non Médicamenteuses (INM) repose sur un processus d’évaluation en plein développement. Dans le domaine des INM, la double contrainte des règles méthodologiques scientifiques et de celles des thérapeutiques centrées sur la personne rend la démonstration complexe.

Lors des 1es journées du GETCOP centrées sur la réflexothérapie, nous avons présenté une étude d’évaluation de pratiques de plusieurs INM (réflexologie, fasciathérapie, hypnose, musicothérapie) menées en parallèle. Cette étude pragmatique, ouverte, non randomisée, multicentrique porte sur le stress du quotidien chez des sujets a priori sains.

Son objectif était d’évaluer l’effet d’une séance, comparativement à une procédure témoin de repos, puis de les comparer entre elles. L’anxiété du moment pour critère de jugement, a été mesurée à l’aide du STAI-Y avant et après une séance pour chaque technique. L’échantillon totalise 308 personnes.

La comparaison avec le groupe témoin de repos a montré une différence significative de moyenne d’état anxieux pour la réflexologie, la fasciathérapie et l’hypnose. La comparaison des 4 groupes intervention entre eux montre que l’abaissement du niveau d’anxiété obtenu par la réflexologie, la fasciathérapie et l’hypnose ne diffère pas significativement entre eux et est supérieur à celui de la musicothérapie.

Télécharger l’étude en français

Un congrès international, ICEPS, s’est déroulé à Montpellier du 18 au 20 Mai 2017, qui a eu pour mission de « croiser les disciplines scientifiques pour améliorer la qualité des études interventionnelles non pharmacologiques et des pratiques professionnelles ». Les Interventions Non Médicamenteuses (INM) sont devenues des solutions incontournables pour améliorer la santé, la qualité de vie, et parfois la durée de vie. Des études constatent également des bénéfices économiques et sociaux.

Ce congrès international a permis :

  • de partager ces preuves d’efficacité, d’innocuité et de coût/efficacité,
  • de discuter des protocoles de recherche permettant d’obtenir ces preuves
  • d’en comprendre les mécanismes d’action.

Une intervention non médicamenteuse (INM) est une intervention (produit, méthode, programme ou service) non invasive et non pharmacologique sur la santé humaine fondée sur la science. Elle vise à prévenir, soigner ou guérir un problème de santé. Elle est reliée à des mécanismes biologiques et/ou des processus psychologiques identifiés et fait l’objet d’études efficacité. Elle a un impact observable sur les indicateurs de santé, de qualité de vie, comportementaux et socioéconomiques.

Nous connaissons tous des personnes ayant ressenti le bénéfice d’une INM. Pour autant, ces cas individuels ne sont pas forces de preuve. Etre satisfait d’une INM ne veut pas dire qu’elle est « efficace ». La plupart des INM ont démontré un intérêt suffisant en termes de bien-être et de santé pour être toujours d’actualité, sans toutefois avoir pu prouver de quelconques vertus thérapeutiques supérieures à l’effet placebo malgré 50 années et plusieurs dizaines de milliers d’essais cliniques dédiés à la recherche de leur efficacité.

Interdisciplinary Working Group for Non pharmacological Stress Management

fasciatherapie reflexologie gestion du stress
Plaquette (version FR)
Plaquette (version EN)

Etude pilote

Hegel Vol.9 N°2-2019
Essai pluricentrique « en ouvert ».

Utilisation de l’échelle de BMS-10 et MBI. L’étude permettra de déterminer « le risque d’exposition au burnout » des personnes dites stressées et de montrer que ce risque d’exposition est moindre APRES l’intervention qu’avant. Ainsi, on ne parle pas de burnout au sens littéral du terme, mais seulement du degré d’exposition, c’est-à-dire la probabilité de développer un jour un burnout, car plus le taux d’exposition est élevé plus le risque d’être impacté est fort » (Dr Jacquet).

  • Évaluation de la réflexologie sur le degré d’exposition au burnout (échelle BMS-10 Inclusion : mini = 4/10)
  • Évaluation de l’apport de la réflexologie sur l’amélioration de la symptomatologie du burnout étudiée sous trois axes : épuisement professionnel, dépersonnalisation, accomplissement des taches (échelle MBI-HSS).

RESULTATS (sur 20 observations terminées) :

  • 23 sujets (20 femmes et 3 hommes), dont 3 sujets exclus en cours d’essai (cause arrêt de travail ou traitement médical).
  • Diminution du score de l’échelle BMS-10 (= amélioration)
  • Diminution du score de l’épuisement professionnel (= amélioration)
  • Diminution du score de la dépersonnalisation (= amélioration)
  • Augmentation du score d’accomplissement personnel (= amélioration)

L’essai n’étant pas terminé, les analyses statistiques n’ont pas encore été réalisées. On peut néanmoins remarquer une forte diminution du score d’échelle BMS10 (~ 50 %) et une amélioration des items de l’échelle MBI-HSS. On peut raisonnablement penser que la statistique mettra en évidence la significativité de ces variations.

Médecin coordonnateur du projet :

  • Dr Alain JACQUET – médecin, chercheur, pharmacologue du Département de Pharmacologie Clinique de l’Université Victor-Segalen Bordeaux II – CHU de Bordeaux.

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